Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (23) Sur Le Lieu De Travail : Les Femmes Aussi !

J’ai raconté (récit n°21) comment, avec la complicité d’Olivier et Serge, collègues de travail de Philippe, mon amant Rachid m’avait offerte toute une après-midi d’été, en présence de mon mari Philippe, à d’autres collègues de travail de celui-ci et ceci sur son lieu de travail.
La réputation de Philippe, comme l’archétype du mari cocu, était déjà bien établie, elle ne pouvait qu’être rene par cette partie fine. Beaucoup de ses collègues entendaient profiter de l’occasion et disaient-ils en présence de Philippe, sans se gêner, « se faire la pute » et accroître encore la «taille des cornes du cocu». Ils n’avaient que mépris pour Philippe, ne comprenant pas qu’il était consentant et complice de tout ce qui se passait, qu’il l’avait voulu, rêver et que cela se faisait au-delà même de ses espérances. Ils ne comprenaient pas que, s’il était «techniquement cocu», il était un candauliste, marié à une épouse hypersexuelle qui, désormais, ne refreinait plus ses envies.
D’autres séances furent donc organisées dans les bureaux de Philippe, quand cela était possible. D’autre fois, Philippe ramenait des collègues à la maison, et m’offraient à eux pour une longue soirée de débauche. D’autres de ses collègues devinrent des participants assidus aux soirées sadomasochistes qu’organisait régulièrement le week-end Marie C, bénéficiant de la mise à disposition de la grande maison de campagne (qu’ils appelaient le « château) que possédaient Christine et Jean (voir le récit n°16).
Philippe avait également des collègues féminines. Olivier et Serge savaient que j’étais profondément bisexuelle. Et ces dames ne voulaient pas être en reste. Elles voulaient elles aussi «en profiter».
C’est Jacqueline, une rousse plantureuse et lesbienne affirmée, qui, ayant entendu parler de ce qui s’était passé avec ces Messieurs, fut à l’origine de cette nouvelle séance. Elle fit d’abord en sorte de convaincre d’autres collègues et se retrouvèrent au total à quatre.

Outre Jacqueline, il y avait Fabienne, une brune de la trentaine, qui avait déjà eu des expériences bisexuelles. Puis elles convainquirent Céline et Christel, deux jeunes secrétaires, de faire la découverte du plaisir saphique.
Jacqueline s’adressa à Olivier et Serge, qui, une fois de plus, servaient d’intermédiaires. Les quatre femmes voulaient que ça se passe également au bureau et que l’après-midi soit exclusivement réservée au plaisir entre femmes. Les collègues masculins seraient, cette fois, « interdits de séjour », chargés uniquement de veiller à ce que ces dames ne soient pas dérangées.
Olivier et Serge furent aussi chargés d’obtenir le feu vert de Rachid, qui disposait de mon corps. Ils passèrent donc à la maison et après une longue séance où, avec Rachid, les trois hommes me firent l’amour devant Philippe, ils expliquèrent les intentions de ces dames.
J’étais enthousiaste. Depuis ma découverte du plaisir à l’adolescence, je désirais faire l’amour avec des hommes, mais aussi avec des femmes. J’ai raconté, dans mon premier récit, comment Maria, l’épouse de mon initiateur, Gianni, m’avait à son tour fait découvrir les plaisirs saphiques. Rien ne remplacera jamais pour moi une étreinte virile et j’ai besoin d’être prise, possédée, par un mâle, et encore mieux par plusieurs, et me comporter comme leur objet sexuel. Mais j’ai aussi besoin des caresses et du plaisir que peuvent se donner entre elles les femmes. J’ai eu beaucoup moins d’amantes que d’amants, mais elles ont, elles aussi, marqué ma vie sexuelle et sentimentale.
J’ai parlé dans mes récits antérieurs de quelques-unes de ces aventures : Daphnée (récit n°2) quand j’étais lycéenne et étudiante, de mes collègues Britannique Ann et néerlandaise, Ursula (récit n°3, avant que je connaisse Philippe) ou encore Rita, une jeune prostituée, qui fut mon amante (récit n°11). Il s’agissait de relations exclusivement sexuelles.
La première fois et au final la seule fois que je suis tombée amoureuse d’une femme, ce fut avec Agun, mon esthéticienne et masseuse d’origine thaïlandaise (récit n°6) que j’ai retrouvée bien plus tard et que je considère désormais comme ma femme, ma compagne.
Agun est d’ailleurs la seule femme avec qui j’ai eu et j’ai une relation sentimentale durable. Je place à part la liaison que j’ai eue avec Christine, qui a beaucoup compté dans mon parcours bisexuel (récit numéro 14). Il n’y avait aucun aspect sentimental dans les rapports saphiques que j’ai eus par la suite avec d’autres femmes, dont mon ennemie Marie C, ou encore avec ma rivale Flavienne, l’ancienne compagne de Philippe.
Au moment où se passe ce récit, la relation, intense, passionnée et courte que j’avais eue avec Christine était terminée. Et je ressentais un vrai manque de ce côté-là. La demande de Jacqueline et des collègues était donc pour moi aussi une occasion. En plus, ce serait ma première véritable partouze lesbienne, puisqu’elles étaient quatre, dont deux novices qui voulaient découvrir le plaisir entre femmes.
Les femmes avaient exigé que Philippe soit présent, mais il n’était pas question non plus qu’il participe, il ne devait qu’être le spectateur. Ces femmes avaient, elles aussi, en tête l’idée «d’humilier le cocu».
Je choisis de porter une jupe, un mini-string, un chemisier clair sans soutien-gorge, dont j’avais pris soin de bien de ne pas fermer les boutons du haut, pour qu’on voie bien mes petits seins fermes. Nous nous sommes retrouvés, Philippe et moi, avec les quatre femmes, en présence de Serge et d’Olivier, à la terrasse d’un café, à proximité immédiate du bureau de Philippe.
Jacqueline était une rousse plantureuse, dont le décolleté était plongeant pour mettre en valeur ses gros seins fermes et impressionnants. Elle devait avoir la cinquantaine. C’était manifestement une dominatrice et ne cachait pas qu’elle était exclusivement lesbienne. Je me suis sentie immédiatement sous sa coupe.
La deuxième protagoniste, Fabienne, 27 ans, était une collègue de travail très proche de Philippe et, à ce titre, avait assisté à notre mariage en 2003. Fabienne a une taille fine, elle est grande. Brune, elle a les yeux d’un noir profond, de beaux seins (90C), un postérieur dont elle peut être fière.
Elle est svelte comme les mannequins. Fabienne a une réputation très chaude et ne cache pas sa bisexualité.
Les deux autres jeunes femmes, Céline et Christel, deux secrétaires, sont plus en retrait. Elles n’ont aucune expérience avec une femme, mais ont fini par accepter l’invitation de Jacqueline. Les deux sont très jolies. L’une, Céline, est brune aux yeux bleus, l’autre, Christel, blonde aux yeux verts, elles ont toutes deux des corps de femme qui semblent digne de mannequins.
Je suis particulièrement excitée et impatiente de vivre la partouze lesbienne qui a été organisée en mon intention. Peu m’importe que ce que nous allons faire ne contribue à ruiner encore plus la réputation de Philippe. Celui-ci connait mon état d’esprit et tout ce qu’il veut, comme toujours, est que j’ai le maximum de plaisir. Il me tient la main et m’embrasse tendrement :
• Elles sont belles, mes collègues, n’est-ce pas ? Tu as envie d’elles, ma chérie ?
• Je suis excitée à mort, tu le sais. Je ne peux me passer d’être saillie par Rachid et tous les mâles à qui il m’offre, mais j’ai aussi besoin des baisers, des caresses d’une femme. J’ai besoin qu’une femme me bouffe la chatte, et de lui donner du plaisir avec ma langue, mes doigts. Je n’ai plus fait l’amour avec une femme depuis des semaines, depuis que Christine a rompu avec moi. J’en ai besoin chéri, tu sais. Et Agun me manque tant.
• Je sais que tu l’aimes à la folie. Elle reviendra ma chérie et sera ta femme, je te le promets.
• En attendant, la perspective de cette après-midi t’excite aussi, mon mari candauliste et cocu. Tu bandes bien ! Grâce à toi, j’assume pleinement ce que je suis et ce que tu voulais que je devienne : une salope, une pute. Je t’aime, Philippe T.
Jacqueline se lève et interrompt notre conversation à Philippe et à moi. Elel s’adresse à Philippe :
• Elle est mignonne ta petite pute, on va bien s’amuser !
Sans hésitation, et sans considération pour l’endroit où nous sommes, Jacqueline soulève ma jupe et écartant le bord du string, elle enfile deux doigts dans ma chatte.

• Et en plus elle mouille déjà !
Il est vrai que l’attaque de cette femme n’a pas tardé à me faire mouiller et mon ventre est déjà en effervescence. C’est une experte car ses doigts m’infligent un véritable supplice ; elle me fouille avec frénésie et son pouce m’écrase le clito ; les jambes écartées, je me livre, cambrant mon bassin, à la recherche de la pénétration. Puis d’un seul coup, la jouissance me ratt et dans un long gémissement, les vagues du plaisir me prennent et un flot de cyprine inonde sa main.
• Elle part au quart de tour !
Me tirant par les cheveux, elle me renverse la tête et à nouveau sa bouche vient s’écraser sur mes lèvres ; enfin elle me lâche et elle s’adresse à Fabienne.
• Je te l’avais promis et je te l’offre ; elle est à toi. Sois gentille, et fais ce que nous voulons ; nous allons t’avoir pour nous quatre et tes trous vont s’en souvenir.
Comme je l’ai dit, Fabienne avait été invitée à notre mariage (voir mon récit n°5). Elle avait assisté à cette fameuse journée, témoin des tentatives saphiques dont j’avais fait l’objet de la part de Christine et surtout de mon premier adultère, avec Pierre, auquel m’avaient poussé Philippe et ses complices.
• Tu m’as beaucoup excité ce jour-là, Olga. Je te désire follement depuis cette journée, la première fois que je t’ai vue. J’ai bien essayé de t’oublier, mais tu es partout : dans mes rêves, dans ma tête, dans mes pensées… Tu es l’objet même de mes fantasmes. Je me masturbe tous les soirs en pensant à toi, pareille le matin. Et cela m’est même arrivé au bureau. J’ai envie de toi comme je n’ai jamais eu envie de quelqu’un auparavant. Alors quand Jacqueline m’a par lé de son idée, j’étais folle d’impatience.
Fabienne se rapproche encore de moi et soulève mon menton. Je rencontre son regard. Elle sourit.
• Tu en as mis du temps ! Je t’avais observé et toi aussi tu m’avais beaucoup plu. Aujourd’hui, je serai à toi.
Peu lui importe à elle aussi qu’on nous observe. Elle me prend dans ses bras et m’embrasse. Pas un petit baiser d’écolière. Non. Elle m’embrasse passionnément, avec la langue. Une langue délicieusement douce et tendre, qui joue avec la mienne, passe sur mes lèvres et rentre à nouveau dans ma bouche pour en explorer chaque recoin. Elle passe sa main sur la naissance de mon sein pour remonter jusqu’à ma nuque, qu’elle saisit pour me faire pencher la tête encore plus et m’embrasser plus profondément. C’est si bon de la sentir contre moi, de l’embrasser, de pouvoir goûter à ses lèvres douces. Nous serions capables, elle et moi, de faire l’amour en public, tellement nous avons envie l’une de l’autre.
Jacqueline nous rappelle à la raison et nous invite à passer aux choses sérieuses.
• Fabienne, comme promis tu seras la première. Mais allons plutôt dans le bureau de Philippe, ce sera plus discret et plus confortable.
Nous nous rendîmes au bureau de Philippe, et comme convenu, Serge et Olivier étaient chargés de rester à l’accueil de l’étage et de faire en sorte que nous ne soyons pas dérangées.
La grande organisatrice, Jacqueline, donna ses instructions aux filles, par rapport à Philippe. Elle leur donna des cordes.
• Nous avons voulu qu’il soit présent, pour qu’il puisse mater. Pas question qu’il participe, pas même qu’il puisse se toucher. Céline, Christel, mettez ce cocu à poil
Philippe n’opposa aucune résistance et les filles lui lièrent les mains derrière le dos, l’attachant à une chaise.
• Dites-donc les filles, ça l’excite. Il bande !
• Et même plutôt bien !
• On va voir si le spectacle que nous allons lui offrir le fera gicler sans qu’il se touche.
• Occupez-vous bien de ma chérie, donnez-lui beaucoup de plaisir, c’est tout ce que je demande !
Comme avec les hommes, la table de réunion, le canapé et le bureau de Philippe seraient les endroits où j’allais à nouveau me livrer à la débauche.
Fabienne s’adressa alors à moi. Elle ouvrit les derniers boutons de mon chemisier.
• Enlève ta jupe et ton string, m’ordonne-t-elle.
Je ne me le fais pas dire deux fois. Fabienne se penche pour prendre mon téton droit dans sa bouche et titille l’autre en le pinçant entre ses doigts fins et froids. Je cris de plaisir. A son tour, elle retire sa robe, puis son string. Je vois son corps nu. Il est parfait.
• Montre-moi que tu me désires vraiment, et fais-moi jouir, me dit-elle avec un ton impatient.
Je m’agenouille devant elle et observe son sexe de plus près. Epilé à la perfection, il ressemble à un mignon petit abricot mur et près à être dégusté. J’écarte les lèvres avec deux de mes doigts et hume le parfum délicat de ce con déjà dégoulinant. Sentant qu’elle s’impatiente et qu’elle veut jouir, je commence à lécher le contour des lèvres, pour qu’elle me désire davantage.
• Oh, Olga, je t’en prie ! Enfonce ta langue !
• Sois patiente ma belle, ça va venir, je lui réponds avec un sourire de satisfaction.
• Ça fait si longtemps que j’attends ça ! Et maintenant, lèche-moi. Fais de moi ta petite chienne préférée !
Je me remets à lécher ses contours, en évitant soigneusement de toucher son clitoris et en passant juste à côté. Frustrée au plus haut point, elle att mes cheveux et colle ma bouche à son bouton déjà tout dur. Répondant enfin à sa demande, je l’aspire longuement tout en le caressant du bout de ma langue. Elle crie de plaisir.
Les trois autres et Philippe observent, fascinés par l’intensité de la scène. Elles sont assises sur les fauteuils. Elles attendent leur tour. Jacqueline interpelle les jeunes femmes :
• Alors les filles, ça vous fait envie ?
• C’est beau, dit Christel. Je suis mouillée.
• Moi aussi, je suis impatiente d’essayer, dit Céline. Et en plus avec l’épouse de mon chef
Je glisse mes mains le long du ventre de mon amante jusqu’à ses seins et en en titille les pointes. Je lèche longuement ce petit clitoris qui m’avait attendu si longtemps. Sentant qu’elle est prête, j’introduis un doigt dans son vagin, puis deux, et trois, sans cesser d’aspirer, de lécher, de mordiller son bouton.
• Mets-y toute ta main, possède-moi toute entière ! me prie-t-elle.
• Fiste-la, chérie, mets lui tout, jusque l’avant-bras. Fais la gueuler de plaisir, m’encourage Philippe.
J’enfonce un quatrième doigt, pour l’habi, puis ma main entière la pénètre. A mon grand étonnement, elle entre facilement et en entier, jusqu’au poignet. Sentir son sexe couvrir ma main toute entière me procure une grande joie. Je commence à bouger à l’intérieur d’elle, ce qui provoque en elle de grand frisson de plaisir.
• Mmh… Oh ouiii ! Plus fort, Olga ! Plus vite !!! Baise-moi ! Possède-moi !
J’obéis, allant et venant en elle. Quand je ressors, dix minutes plus tard, après qu’elle ait joui, il y a un gros trou d’où s’écoule un liquide blanchâtre que je bois avec gourmandise.
Je me dirige vers Céline et Christel. Fabienne décide alors de s’occuper de déniaiser la blonde, Christel.
• Occupe-toi de l’autre, ma chérie.
Alors elle déshabille Christel et l’installe sur le bureau de Philippe. Puis elle se baisse sur sa petite chatte à la pilosité réduite. Cinq secondes plus tard, on entend de petit gémissement de plaisir, venant de la jeune blondinette. Je me retourne. Vers la brune, Céline. J’ai envie d’elle, je vais lui faire aimer le saphisme. Elle me regarde timidement. Avec un sourire d’encouragement, je lui prends gentiment la main et l’emmène sur un des fauteuils. Elle s’assoit et me regarde, ne sachant pas quoi faire.
• Est-ce que tu veux le faire ?
Elle me sourit timidement et me fais oui de la tête.
• Je te promets d’y aller doucement.
Je lui enlève sa petite robe noire, puis son string et son soutien-gorge. Elle a de jolis petits seins haut-perchés. Je commence à lui téter le bout. Sa réaction fut immédiate. Elle gémit de plaisir. Puis les gémissements de la petite blonde reprennent, m’informant que Fabienne s’était remise à la tâche. Je trace un sillon jusqu’à son petit sexe qui est fraîchement épilé. Il est doux et sent bon. J’introduis ma langue dans son vagin. J’aspire son clitoris tout dur. Elle crie et s’agrippe à mes épaules.
• C’est… Trop bon ! Merci Jacqueline de m’avoir convaincue d’essayer ça !
• Je sais, et tu n’as pas tout vu.
Aussitôt, j’enfonce un doigt dans sa chatte, tout en léchant goulument son bouton rose. Elle hurle. J’enfonce un deuxième. Elle a mal au début, mais s’habitue très vite et le plaisir reprend le dessus. Au bout de deux minutes, elle jouit dans ma main et dans ma bouche. Je lève les yeux vers elle. Elle a les yeux fermés et son visage rayonne. Je suis fière de moi. Je me redresse et l’embrasse. Ses lèvres s’ouvrent instantanément sous la pression de ma langue. Elle embrasse bien. Elle ose me caresser. Ses mains se promènent fébrilement sur mon ventre, mes seins.
• Tu veux essayer ?
• Oui, je veux vous rendre ce que vous m’avez fait vivre, dit-elle timidement.
• Tu dois me tutoyer. Je suis à toi et à tes collègues cette après-midi. Tu vas me faire jouir, ma belle.
Alors que Fabienne initie Christel, Jacqueline, nue, se branle violement le clito. Philippe bande comme il l’a rarement fait. Il n’en perd pas une miette.
J’ouvre mes jambes en grand pour faciliter la tâche de Céline. Je lui explique comment faire et elle se met au travail. Pour une débutante, elle est très douée. Elle lèche d’abord le contour, comme je l’ai fait pour Fabienne un peu plus tôt. Puis, sous mes indications, elle aspire mon clitoris. Le plaisir se manifeste immédiatement.
• Oui, comme ça, je soupire. C’est bien, continue.
Elle introduit sa langue dans mon sexe et la fait tourner à l’intérieur. Elle l’enfonce aussi loin qu’elle le peut et revient aspirer le clitoris.
• Oui !! Comme ça ! Mmmmmh !!!! C’est trop bon ! Enfonce ta main, maintenant.
Elle me regarde, surprise.
• Je suis une habituée, ne t’inquiète pas. J’adore ça.
Elle m’obéit et enfonce sa main. Elle entre facilement. La jeune fille entame un va-et-vient.
• Oui, comme ça, vas-y, enfonce-la jusqu’au poignet. Tu sais c’est mon mari Philippe qui m’a fait découvrir le plaisir du fist.
Dix minutes plus tard, je jouis. Fabienne a déjà fini. Elle et sa partenaire Christel nous regardent.
Excitée par ce qu’elle venait de voir, Jacqueline voulait son tour.
Je me suis assise sur le bureau. Une de ses mains était plaquée sur mes fesses et l'autre sur mon ventre. Elle passait ses doigts comme un peigne dans mes poils
Quand j'ai tourné la tête, j’ai vu ses seins énormes et pointus, aux aréoles immenses et aux mamelons gros comme des dés à coudre.
J'ai écarté les cuisses comme elle me le demandait mais elle m'a pris le poignet et a guidé ma main jusqu'entre ses cuisses. Jacqueline me tenait toujours le poignet mais sa main a glissé sur ma main et ses doigts sur mes doigts et elle me les a guidés là où elle voulait que j'aille, ajoutant qu'elle n'était qu'une vieille salope et que je n'avais qu'à enfoncer mes doigts dans son vagin.
A part le pouce, j'avais enfoncé presque tous mes doigts. Elle a laissé tomber sa tête en arrière, m'a lâché le bras et sa main s'est enfoncée entre mes cuisses. Je sentais ses doigts sur ma vulve, sur mes petites lèvres et sur mon clitoris et aussitôt dans mon vagin, un doigt, puis deux, puis trois.
Elle avait à peine fini de dire ça que j'ai eu un nouvel orgasme et il m'aurait été impossible de faire autrement tellement j'avais envie de jouir. Elle avait laissé ses doigts dans mon vagin.
• On m’avait dit que tu étais capable d’enchaîner les orgasmes. C’est incroyable et tu as toujours envie. Regarde ton mari, là-bas. Ce cochon a giclé sans qu’il se soit touché. Il en a mis partout !
• Tu as aimé, mon Philippe ? Ce n’est pas fini, tu sais.
• J’ai adoré ! Continue, mon amour !
Nous étions maintenant face à face et elle a enfoncé ses mamelons dans ma poitrine comme s'il s'était agi d'un défi.
Jacqueline me dévorait la chatte. Elle n'arrêtait pas de répéter que j'aimais ça puis elle m'a fait dévorer ses mamelons, m'écrasant sa poitrine sur la bouche puis ce fut à son tour de me dévorer les miens avant que je ne lui dévore la chatte.
Elle s'est alors équipée d'un gode à ceinture qu'elle s'est attachée autour de la taille et m'a fait pencher les mains bien à plat avant de me pénétrer.
Elle s'est retirée de mon vagin puis elle s'est enfoncée entre mes fesses avant de s'enfoncer dans mon anus. Jacqueline continuait à me sodomiser et me demandait de me caresser si je voulais avoir un orgasme et là aussi, je l'ai voulu parce qu'elle le voulait.
• Petite cochonne ! Ma jolie gouine, m'a-t-elle dit à la fin ! Fais-moi goûter ton plaisir !
C’est au tour de Christel, qui vient d’être initiée par Fabienne, de profiter de mon corps. Comme avec Céline, je veux prendre mon temps, que ce soit inoubliable pour cette jeune femme. Je m’installe sur le canapé. Nous nous regardons en détail.
Physiquement, elle était plutôt jolie, elle avait un visage en longueur aux pommettes saillantes et des lèvres pulpeuses, de longs cheveux châtains et des yeux bleus.
Christel était un peu plus petite que moi, avec un fin tour de taille. Elle avait un joli petit cul cambré et surtout une superbe poitrine aux gros seins. C’était exceptionnel d’avoir d’aussi gros seins pour son tour de taille.
Je la trouve bien faite et sexy, elle aussi me trouve à son goût. Je suis restée couchée, elle se penche sur moi.
Elle s’allongea sur moi et commença à m’embrasser. Je sentais qu’elle restait un peu réservée, un peu timide. Je décidais de détendre l’atmosphère. Tout en l’embrassant, je lui caressais le cul avec insistance. Nos respirations s’accélérèrent. Nos baisers devenaient passionnés et fougueux.
Sa langue venant trouver la mienne, ses mains me caressant le visage et le dos. Elle embrassait vraiment bien et je me laissais aller. Je sentais mon antre se mouiller.
Je restais bouche bée devant ses superbes seins dressés de désir, ne me retenant plus, je plongeai la tête en avant pour lécher et peloter ses seins, mordiller ses tétons tout durs. Ma langue allait et venait sur le bout de ses seins, et Christel gémissait, cambrée en avant. J’étais aux anges
Je peux en profiter pour prendre un téton dans ma main. Je la pelote sans crainte. Elle se laisse faire et me le rend.
Elle se retrouva nez à nez avec ma fente luisante de désir.
• Oh oui vas-y ma belle, vas-y, murmurai-je.
Elle posa timidement sa bouche sur ma fente, ses yeux fixés sur moi, ce qui me fit frémir, puis elle s’approcha un peu plus de moi. Je me demandais ce qu’elle allait faire.
Elle prit ses seins à deux mains et se mit à se caresser devant moi, puis elle se déshabilla et se branla devant moi.
Christel, qui découvrait les plaisirs saphiques, qui se lâchait et faisait sa belle salope ! Et elle avait l’air d’adorer ça en plus, elle se branlait en poussant des soupirs, puis elle me dit :
• Tu devrais en faire autant, s’est si bon.
Je me mis à me branler la chatte, elle regardait avec passion et, voyant mon expression de bonheur, elle me sourit.
Cela m’excita énormément venant de cette fille qui peu avant semblait réservée et gênée. A genoux sur le canapé, Christel accéléra le mouvement de sa main sur sa vulve, ses superbes seins se balançant de plus en plus rapidement.
Elle hurla son plaisir, puis m’embrassa longuement.
• Oh que c’est bon, me dit-elle avec un sourire de cochonne.
Elle s’allongea près de moi et se mit à me branler pour me faire jouir.
Le plaisir monta rapidement en moi et je lui dis :
• Tu es incroyable.
Je jouis en feulant de bonheur, alors elle s’allongea sur le dos, écarta les jambes et me murmura d’une voix sulfureuse, ses yeux brûlant de désir :
• Alors baise-moi maintenant. Jacqueline, donne-lui un gode, je veux qu’Olga me baise. Baise moi salope !
Me redressant, je me positionnais au-dessus d’elle, la bite factice à l’entrée de son sexe, le gland touchant sa vulve.
Je poussais alors doucement avec cette queue en elle, aidée de ses mains sur mes hanches et me guidant dans la pénétration, le gode entrait lentement dans son vagin.
Christel gémit de plaisir, fermant les yeux. Lorsque le pal fut rentré à fond dans sa chatte, je commençais à faire des va-et-vient, d’abord lentement puis de plus en plus rapidement. Christel se caressait les seins en se cambrant.
Puis j’y allais à fond, les couilles du gode frappant contre le bas de sa vulve. Christel gémissait de plus en plus fort et ses seins remuaient et tressautaient violemment avec mes coups de reins. Les autres femmes s’étaient rapprochées, nous embrassant et nous caressant les seins.
Ce fut extraordinaire comme sensation de pénétrer Christel ainsi. Ses gémissements qui devenaient à présent des cris de plaisir m’excitaient encore plus. Je la baisais comme un mec, donnant de violents coups de hanche. J’aurais aimé que Rachid soit là pour prendre le relais et la démonter.
Le plaisir montait rapidement en elle, Christel eut un tremblement et hurla de plaisir en jouissant. Je retirais alors rapidement cette bite du sexe de Christel encore tremblante.
Christel se redressa en me regardant fixement, et dit :
• A toi maintenant, je vais te baiser comme une salope que tu es !
Elle fut rapidement sur moi harnachée, je la regardais le souffle court par l’étonnement et l’envie de me laisser baiser.
Philippe, qui avait retrouvé une belle érection, l’encourageait :
• Vas-y Christel, tu vas la faire couiner. Baise-la comme une pute, elle aime ça !
Elle me pénétra sans un mot et me tirant un cri de surprise et des gémissements de plaisir. Elle me prit longuement ainsi puis en levrette, essayant parfois de me sodomiser. Après un orgasme terrassant, je m’allongeais et Christel vint m’embrasser passionnément.
Les novices étaient insatiables. Céline prit aussitôt la place de sa collègue.
• Tu es excitée ma belle de faire l’amour avec la femme de ton chef ?
• Oh oui, il y a longtemps que je fantasme sur vous, euh sur toi. Je t’aime, Olga. J’aimerais venir régulièrement chez toi pour qu’on se gouine, tu veux bien ?
• Bien sûr ma chérie, tu es si jeune, si belle.
Elle pose une main sur mon pubis. Je la laisse le caresser et attends qu’elle aille plus bas. Mes mouvements la persuadent de mettre sa main dans ma chatte. Elle cherchait à peine mon bouton, celui que je caressais un moment avant. Après l’avoir décalotté, je sens son doigt qui va et vient sur moi. Je me cambre sous cette première caresse. Je me donne totalement jusqu’à ce qu’elle arrive à me donner un nouvel orgasme.
Je peux passer une main derrière ses fesses, à mon tour de chercher son bouton que je ne trouve pas quand elle écarte les cuisses. Par contre je passais sur son anus, puis enfin j’entrais dans son con. J’y mettais trois doigts que je faisais aller et venir. Son corps accompagne mes doigts. Je ne pensais pas qu’elle soit si sensible quand elle jouit assez rapidement. Je laisse mes doigts dans cet antre de plaisir. Je sens la chaleur de son corps ainsi que la mouille de son sexe.
Nous nous sommes installées comme il fallait : elle est sous moi, je sens sa langue fouiller ma chatte et entrer dans mon petit con. Elle me tient les fesses pour être à l’aise, je lui demande de venir dans mon cul. Je suis justement en train de lui mettre un doigt dans l’anus quand elle me met deux doigts dans le cul.
Je suis brisée par le plaisir, mais elles en veulent encore. Elles sont toutes les quatre autour de moi, pour une apothéose de plaisir.
Les mains des quatre femmes m’investissent. Mes tétons sont pincés, tiraillés, et des mains descendent sur mes hanches, avant que des doigts me fouillent mon ventre avec brutalité. Jacqueline, elle pénètre avec méchanceté mon petit trou. J’essaie de me débattre, mais une claque me sonne les fesses et Fabienne en profite pour me tordre les mamelons. La douleur me fait hurler, et à nouveau mes fesses sont claquées.
• Tais-toi et écarte les jambes !
J’obéis et un orgasme foudroyant me saisit quand des doigts me remplissent à nouveau la chatte. Céline s’est allongée sur le canapé et écartant ses cuisses me dit
• Suce-moi encore, nettoie-moi le minou.
• Oui chérie, gouine encore ma salope de secrétaire. Elle te plait ma femme, Céline ?
• Oh oui, Monsieur, je suis amoureuse d’elle, ouiiiiii
Jacqueline me pousse la tête entre ses jambes ; j’aime sa chatte et sans hésitation, ma langue s’infiltre dans les petites lèvres, je mordille le clito, puis j’aspire sa mouille. Ma langue va dans le sillon et lui lèche l’œillet. Puis va d’un trou à l’autre : l’anneau s’ouvre sous les caresses de ma langue. En me criant des mots d’amour, elle jouit et mouille abondamment et je bois sa cyprine.
Céline est déchainée :
• avale tout, salope, lèche moi encore !
Tout à mon plaisir de satisfaire ma jeune maitresse, j’ai oublié un moment les autres. Un objet froid vient se poser sur mon sillon et force l’anneau. Jacqueline a sorti son plus gros gode, un vrai monstre. J’ai l’impression que mon cul va éclater, tant il est gros ; Jacqueline pousse sans douceur, puis d’un seul coup me perfore et je sens son pubis sur mes fesses. Je hurle ma douleur, mais rien n’y fait, au contraire mes cris doivent lui plaire, car son mouvement s’accélère et toujours plus fort, elle me viole comme un homme, puissant et membré. Ses ongles labourent mon dos, me faisant , tandis qu’elle plante ses dents dans mon épaule et au niveau de mon cou, voulant me laisser un souvenir de cette après-midi de débauche.
• C’est trop gros Jacqueline !
Rien n’y fait.
• C’est moi qui décide, tais-toi, petite pute, tu es habituée aux gros calibres, non ?
Je dois être ouverte à l’extrême car petit à petit la douleur est remplacée par une douce chaleur ; le plaisir est là et ses vagues commencent à me submerger.
Jacqueline, elle, commence à gémir, son plaisir arrive :
• oh je jouis, salope ton cul est bon, suce moi maintenant »
Elle se retire, c’est un grand vide brusquement. Son gode me manque. Sa main me pousse vers le bas et c’est une chatte trempée, ruisselante que ma langue ouvre. Je lui titille le minou, puis je rentre ma langue le plus loin possible, aspirant les sécrétions de son plaisir.
Fabienne, de son côté, ne reste pas inactive, ses doigts me pénètrent et me fouille la chatte détrempée. Sa main se presse dans l’entrée, accentuant la pénétration ; j’écarte au maximum mes cuisses et la main gagne du terrain. Voulant être tout à mon plaisir, je fais jouir Jacqueline en lui mettent deux doigts dans le petit trou. Elle ne résiste pas et part dans un feulement continue et à nouveau sa chatte se remplit de cyprine.
La main de Fabienne est maintenant presque rentrée, je suis dilatée, ouverte comme tout à l’heure et soudain, la main entre en entier, elle y va jusqu’au poignet. Elle me branle comme un sexe, ses va et viens s’accélèrent et mon plaisir revient.
J’aime être fistée et le déferlement commence ; à chaque mouvement, ma jute sort de mon vagin et s’écoule le long de mes cuisses
• J’aime ce que tu fais, continue, baise ta petite salope, je pars ...
Toute l’après-midi, ces femelles m’ont soumise, me pénétrant à tour de rôle, sans que je puisse le faire, je suis leur jouet et pour finir, comme deux males en rut, Jacqueline et Fabienne, puis Céline et Christel, qui avaient perdu toute innocence, m’ont prise en double, avec leur godes, s’embrassant à pleine bouche par-dessus mon épaule. J’ai les deux trous investis : soumise, j’encaisse leurs baises sans frémir, le plaisir est continu, et peu après leurs jouissances les submergent.
A la fin de la journée, les quatre femmes promettent de venir chez nous pour profiter à nouveau de mon corps. Jacqueline leur suggère de participer aux parties SM organisées par Marie C dans la propriété de Jean et Christine et dont je suis le centre. Olivier et Serge lui ont parlé de ces soirées et je sais que la lesbienne rousse a envie d’exercer sur moi ses envies les plus inavouables. Elle veut voir jusqu’où je suis capable d’aller et me voir punie et souffrir.
En rentrant, Rachid nous attendait avec impatience. Il a voulu que Philippe et moi lui racontions cette après-midi de débauche.
Rachid me prit par la main.
• Philippe tu l’as vu toute l’après-midi se faire gouiner, maintenant tu vas voir qu’elle a besoin d’être saillie par son mâle. Viens nous mater, je vais la pilonner.
Et il est vrai que mon mari candauliste en avait autant envie que moi.




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